Une étude de l’ONG Transport et Environnement montre que ces véhicules peuvent rejeter jusqu’à 12 fois plus de CO2 qu’annoncé !

En fonction du profil d’utilisation, les émissions de CO2 peuvent être largement supérieures aux déclarations des constructeurs, notamment en l’absence de recharge de la batterie. Dans ce cas le moteur thermique assure seul la motricité d’un véhicule nettement plus lourd que la moyenne du fait de la batterie. C’est particulièrement sensible sur autoroute à haute vitesse ou en montagne par exemple.

Lire l’article d’Eric Béziat – Le Monde – du 24 novembre 2020…